désolé epik...
quand je pense aux chats (et surtout à feu la mienne, disparue après 17 années de concubinage - je pense que le mot est exact vu qu'elle détestait toutes les copines que je ramenais à la maison....-), je pense à ce poême :
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques,
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
de qui d'ailleurs ?