là, j'ai beaucoup de points tout d'un coup...
Lorsqu´en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au cœur de l´Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c´est la gangrène
à Santiago comme à Paris.