Dans son livre Games of Terror, Vera Dika définit le sous-genre par sa structure archétypée :
Événement passé :
Le groupe de jeunes s'est rendu coupable d'une mauvaise action. (Souviens-toi… l'été dernier)
Le tueur a vu une faute, une mauvaise action. (Halloween, Les Griffes de la Nuit)
Le tueur a vécu une expérience tragique/traumatisante (Vendredi 13, Carnage, Scream).
Le tueur assassine les fautifs du groupe de jeunes.
Événement présent :
Une fête commémorant un événement.
La volonté destructrice du tueur est réactivée.
Le tueur reconnait les coupables.
Un membre d'un ancien groupe avertit le groupe de jeunes (optionnel).
La bande de jeunes ne fait pas attention.
Le tueur traque les jeunes du groupe.
Le représentant d'une force, tel un détective, essaye d'éliminer le tueur. Il est généralement assassiné.
L'assassin élimine certains jeunes.
Le héros/l'héroïne voit le déroulement des meurtres.
Le héros/l'héroïne voit le tueur.
Le héros/l'héroïne se bat avec le tueur.
Le héros/l'héroïne tue ou triomphe du tueur.
Le héros/l'héroïne survit.
Mais le héros/l'héroïne n'est pas libérée du tueur/de la malédiction.
mais Jean Pierre Andrevon, dans son ouvrage "le nouveau fantastique", revient sur le point "L'assassin élimine certains jeunes" en soulignant que la charge sexuelle joue un rôle prépondérant dans l'élimination des victimes. les adolescents ayant déjà commencé leur vie sexuelle sont assassinés en premier, comme si le mystérieux tueur voulait les punir, comme s'il représentait une force puritaine. ça répond à ta question @zark ?
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