"Spoiler méchant sur Simetierre. Ne pas ouvrir si on compte lire le bouquin"
Quand le père et le petit garçon jouent au cerf-volant (je crois, ça fait très longtemps que je l'ai lu^^) King décrit cette scène magnifiquement, l'amour que le père a pour son fils déborde de tous les cotés, c'est vraiment beau comme tout cette relation père/fils.
Et le chapitre termine par "l'enfant, qui n'avait plus que quelques jours à vivre..." (approximativement).
Et c'est tellement soudain, tellement à l'opposé des sentiments joyeux qu'il décrivait avant, ça m'a tuée
ça m'a glacée le sang
Et j'y pense toujours